CAMILLE ABOUSSOUAN
Camille Aboussouan
Camille Aboussouan , est né le à Beyrouth, et était un avocat libanais francophone, diplomate, écrivain et traducteur.
Après des études de droit à l'USJ, il poursuit une carrière littéraire sans oublier la littérature. Camille a fait beaucoup pour son pays, comme participer à la recherche de découvertes archéologiques au Liban en 1943. En 1945, il publie sa première leçon "Vos cheveux au vent". Il a également publié son premier magazine culturel "Les cahiers de l'est", qui a été un succès complet, et pour celui-ci, il a reçu le prix de l'Académie française. Quelques années plus tard, en 1960, Aboussouan devient membre du comité du Festival de Baalbeck, collaborant ainsi avec le Théâtre Français. Camille a également été ambassadeur du Liban auprès de l'UNESCO, nommé à Paris, et pendant tout ce temps, il a travaillé pour montrer la vérité de la presse libanaise.
Il est important de dire qu'en 1956, Camille publie une traduction du "prophète" par Gibran Khalil Gibran, et remporte le prix de l'Académie française pour un ouvrage sur l'architecture libanaise des XVe et XIXe siècles.
Cet écrivain a un recueil d'œuvres très complet, et il a gagné des prix comme la Médaille d’argent du prix littéraire 1986 de l'Académie française 3, 1985. Aussi, il a écrit et publié des livres (romans et poésie) comme: ‘L’architecture libanaise du xve au xixe siècle’, ‘Tes cheveux dans le vent’ (1943), ‘Le Prophète de Khalil Gibran’ (1956), ‘Le livre et le Liba’ (198), ‘Catalogue de la donation Camille Aboussouan’, ‘Visions d'Orient’, ‘La donation’ ( 2002), ‘De la montagne du Liban à la bastide royale de Fleurance’, ‘Mémoires et souvenirs’ (2008).
Camille Aboussouan me semble un excellent écrivain car il a toujours été à la disposition de son peuple. En outre, il se battait avec honneur pour son pays et il l’a laissé refléter dans ses écrits, que nous pouvons lire aujourd’hui.
RépondreSupprimerLe poème de "Nuit'",extrait de la collection "Tes haïr dans le vent" (1943); montre le côté le plus sincère et le plus profond du poète car il nous parle des peurs et des situations qui lui déplaisent.
Je voudrais souligner que Camille, en tant qu’ambassadeur de l’UNESCO, a travaillé pour dire la vérité dans la presse libanaise.